Les Cahiers de la Fintech – Compliance 2025 | Avec Artefact

Nous avons le plaisir de partager la nouvelle publication “Les Cahiers de la Fintech – Compliance – édition 2025” signée par L’Observatoire de la Fintech, en partenariat avec Treezor, consacrée à la règlementation et la conformité dans l’univers de la Fintech.

Table des matières :

1. Panorama de la Fintech par agrément ou statut réglementaire en 2024
2. Trends fintech par agrément/statut
3. La conformité aujourd’hui et demain

Dans ce rapport qui décrypte les grandes tendances en matière de réglementation et de conformité dans l’univers des Fintechs et des Services Financiers, Joffrey Martinez, Managing Partner et Financial Services Global Lead chez Artefact, y partage notamment son expertise sur un sujet clé : “Comment l’IA peut-elle transformer la conformité bancaire en avantage compétitif tout en renforçant l’inclusion financière ?”

La règlementation et la conformité dans l’univers de la Fintech ont su montrer leur efficacité dans la protection du consommateur et dans celle de l’écosystème dans de nombreux domaines :

1. L’écosystème des fintechs régulées ayant levé des fonds et encore en activité s’élève à 205 sociétés pour près de 6 milliards de fonds levés
2. Les régulateurs suivent de très près les nouvelles technologies, et le temps qui s’écoule entre l’émergence d’une technologie et la réglementation qui l’encadre est de plus en plus court comme on a pu l’observer pour les cryptos actifs ou l’IA.
3. Les nouveaux agréments européens permettent aux fintechs de dépasser le cadre national et de devenir des acteurs de taille continentale. Ces réglementations permettent le libre établissement et la libre prestation de services dans tous les pays de l’Union et un meilleur “level playing field” même si des progrès importants restent encore à faire.
4. L’enjeu est de continuer à maintenir un équilibre entre la nécessité de favoriser l’innovation et le développement de l’écosystème des fintechs d’une part, et de protéger le consommateur sans trop alourdir les obligations pesant sur les start-ups d’autre part.